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Sa contre-offre de dernière minute de 837 millions de dollars déposée lundi est jugée "supérieure" aux 835 millions mis sur la table fin octobre par le groupe japonais, indique Pep Boys dans un communiqué mercredi.
Par conséquent, l'équipementier américain a informé Bridgestone qu'il s'apprêtait à mettre fin à leur accord de principe et lui donne jusqu'à vendredi pour surenchérir.
Le rachat de Pep Boys est censé permettre au groupe nippon de renforcer BSRO, son réseau de vente de détail aux Etats-Unis qui comprend quelque 2.200 centres vendant pneus et autres équipements sous les enseignes Firestone Complete Auto Care, Tires Plus, Hibdon Tires Plus et Wheel Works.
Outre le montant supérieur à celui de Bridgestone, M. Icahn, qui possède déjà 12,1% du capital de Pep Boys, ne demande pas à examiner les livres de comptes et n'a pas conditionné sa proposition à l'obtention du feu vert des autorités de la concurrence.
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