Alors que le débat autour de l’interdiction des véhicules thermiques à l’horizon 2035 continue de diviser, les constructeurs automobiles français appellent notamment à davantage de flexibilité. Ils cherchent en effet à redynamiser un marché fragilisé par les coûts de production et par la complexité des réglementations environnementales et technologiques.
Alors que le débat autour de l’interdiction des véhicules thermiques à l’horizon 2035 continue de diviser, les constructeurs automobiles français appellent notamment à davantage de flexibilité. Ils cherchent en effet à redynamiser un marché fragilisé par les coûts de production et par la complexité des réglementations environnementales et technologiques.
Mais un facteur clé reste souvent sous-estimé : le logiciel. Aujourd’hui, un véhicule électrique embarque plus de 100 millions de lignes de code. Ce code gère la sécurité, les performances et la conformité réglementaire et son développement représente désormais une part majeure des coûts et des risques industriels.
Comme l’explique Thomas Cardon, Directeur des ventes automobiles EMEA chez QNX :
« Le logiciel est devenu un poste de coût à part entière pour les constructeurs. Multiplier les développements maison ou les intégrations complexes, c’est multiplier les risques, les délais et les surcoûts. Les constructeurs ont tout intérêt à s’appuyer sur des plateformes logicielles déjà certifiées et éprouvées pour maîtriser leurs budgets tout en garantissant la sécurité fonctionnelle de leurs véhicules. »
Avec plus de 235 millions de véhicules équipés dans le monde, QNX (BlackBerry) aide les constructeurs à bâtir plus rapidement des architectures logicielles fiables et conformes, tout en réduisant les coûts liés à la complexité logicielle.