Il fut un temps où le projet d’intégrer le code de la route à l’enseignement général, c’est-à-dire dans les écoles, circulait (était-ce un bruit de couloir, une rumeur ou une réelle réflexion ? Je ne sais pas et je n’ai pas réellement cherché à savoir) mais le nombre de problèmes que cela risquait d’entraîner (surtout économiques et pour l’État et pour la profession autoécoles) qu’il semblerait qu’il ait été abandon- né ou tout simplement qu’il soit resté au stade d’évocation.