Et si le permis de conduire devenait un droit universel, et non un privilège réservé à ceux qui correspondent aux standards ? Chaque jour, des millions de personnes vivant avec des troubles de l’apprentissage – DYS, TDAH, autisme – se retrouvent face à un système d’apprentissage de la conduite qui les exclut sans même leur offrir une chance. Un permis, pour elles, n’est pas juste un papier : c’est un sésame pour l’autonomie, l’emploi, la vie sociale. Pourtant, ce droit fondamental leur est souvent refusé faute de méthodes adaptées.