A l’instar des véhicules, la France perd des parts de marché mondiales dans les équipements automobiles, du fait de la migration d’une partie de la production nationale vers les nouveaux États membres. La poussée des importations depuis
cette zone, ainsi que depuis l’Asie, conduit à une érosion de l’excédent commercial des équipements, en passe de se transformer en déficit.