Le résultat net du constructeur est ressorti entre janvier et mars à 1.460 milliards de wons (1,18 milliard d'euros), soit le 13ème trimestre consécutif de chute.
"Des arrêts de travail partiels dans les usines ont augmenté les coûts tandis que les dépenses publicitaires ont augmenté pour faire face au ralentissement économique mondial", dit le groupe dans un communiqué.
Hyundai fait état d'une performance solide dans des marchés émergents comme la Russie et le Brésil mais de la "faiblesse de la demande" des consommateurs chinois qui a débouché sur la chute de ses ventes à l'étranger.
Hyundai a vendu environ 1,1 million de voitures au premier trimestre, soit 1,6% de moins que durant le premier trimestre 2016.
Les ventes en Chine ont plongé de 44% au mois de mars. Pékin ne décolère pas face au déploiement en Corée du Sud du système américain antimissile Thaad, qu'elle considère comme une menace pour ses propres capacités balistiques et un facteur d'instabilité régionale.
Washington et Séoul affirment qu'il doit permettre de protéger la Corée du Sud de la menace de Pyongyang qui a multiplié depuis un an les essais balistiques.
Hyundai, qui est avec sa filiale Kia le cinquième constructeur mondial, prévoit une période pleine de défis entre le ralentissement de la croissance mondiale et les tentations protectionnistes.
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