Par rapport à 2019, avant la crise du Covid-19, la chute est même de 42,23%, indique la Plateforme automobile sur son compte Twitter.
Le groupe français Stellantis (Peugeot-Fiat) a enregistré une baisse plus marquée de ses ventes que l'ensemble du marché en avril (-29,26% à 35.496 immatriculations), tandis que celles de son compatriote Renault ont diminué de 20,96% à 23.659 immatriculations. Celles de l'allemand Volkswagen chutent de 30,23% à 14.310 immatriculations.
A l'inverse, les ventes de l'américain Ford ont bondi de 10,88% avec 4.027 immatriculations et celles du japonais Nissan de 47,84% à 2.908 immatriculations.
Sur les quatre premiers de mois de l'année, les immatriculations de voitures neuves ont baissé de 18,57% en données brutes à 474.083 immatriculations. Le constructeur de voitures électriques de luxe Tesla échappe au marasme avec un bond de ses ventes de 42,99% à 8.578 véhicules.
La part des véhicules électriques est de 11,9%, contre 38,1% pour l'essence, 16,3% pour le diesel et 28,4% pour les véhicules hybrides.
Concernant les véhicules utilitaires légers neufs (moins de 5,1 tonnes), le marché a reculé de 31,8% en avril à 27.485 et de 26,17% à 118.219 sur les quatre premiers mois de l'année.
Le secteur des transports est l'activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de serre (GES) de la France, les transports routiers constituant la quasi-totalité de ces émissions.
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