La Bugatti BRESCIA Type 23 fut adjugée 60 000 €, avec une restauration à terminer, la Bugatti 35B, châssis BC41, ex Yvan Dutton, pilote anglais réputé, fut adjugée 522 000 €, le Coupé de Ville (petite Royale) construite sur un châssis de Bugatti 46 à 386 000 €, la Bugatti 51 à 342 000 €, le Roadster deux places Bugatti 49 à 360 000 €, une autre Bugatti 35 a été adjugée 336 000 €, et la magnifique Bugatti 57 Galibier avec sa carrosserie d’usine a atteint 431 000 €.
Auparavant, les lots d’Automobilia marqués Bugatti ont magnifiquement ouvert la vente.
Les six étaux Bugatti ont tous trouvé leur enchérisseur avec des prix allant de 3400 à 4800 €. Ces reconstructions faites dans les moules bois d’époque explique sans doute leur succès. Trois supports d’établis au logo Bugatti ont atteint 3600 €, un compte tour 2 040 €. Même le moteur de Bugatti 49 démonté et incomplet - il manque l’embiellage - fut adjugé 22 800 €.
A l’issu de la vente la Maison de Vente OSENAT s’est félicitée du résultat obtenu précisant que seules deux des Bugatti quitteront le territoire français, l’une en Suisse et l’autre en Allemagne.
A noter que, pour plusieurs des voitures vendues, les frais acheteur et vendeur seront reversés par la Maison de Vente Osenat à l’association caritative Vaincre le Cancer.
Renseignements pratiques
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A propos de l’Etude Osenat
Maître Jean-Pierre Osenat a développé l’Etude de Fontainebleau pour la positionner en quelques années parmi les dix premières Maisons de Ventes françaises, à travers les ventes d’Automobiles de Collection, les ventes sur Napoléon connues sous le nom de « L’Empire à Fontainebleau », ou encore les nombreuses ventes caritatives qui ont fait connaître la ville de Fontainebleau à l’étranger comme une place française importante pour le marché de l’art.
