véhicule autonome : La simulation numérique rend l'industrie automobile française encore plus compétitive

Alors que les véhicules autonomes de niveau 3 (L3) sont officiellement autorisés sur les routes depuis cet automne, le chemin vers l’autonomie totale présente encore de nombreux défis technologiques. Valider les algorithmes de conduite et les ADAS (Systèmes d’assistance à la conduite) avec des méthodes de roulage basées sur des prototypes est impossible dans de et des coûts raisonnables.