Le fabricant des hybrides Prius (essence-électricité), des berlines Camry ou encore de la citadine Yaris table sur une hausse de 2%, comme cette année qui devrait se finir sur des ventes culminant à 10,55 millions, dont 2,3 millions au Japon.
Ces chiffres regroupent l'ensemble de ses marques (Toyota, luxe Lexus, mini-véhicules Daihatsu, poids lourds Hino).
Début novembre, Toyota avait relevé ses prévisions financières pour son exercice décalé 2018/2019, résistant à l'essoufflement observé aux Etats-Unis et affichant de bonnes performances en Chine où il doit rattraper son retard sur ses rivaux.
Numéro un mondial de 2008 à 2015 à l'exception de l'année du terrible tsunami de 2011 au nord-est du Japon, Toyota avait perdu son titre en 2016 au profit de l'allemand Volkswagen. Puis, l'année suivante, il avait été rétrogradé au troisième rang mondial, l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi Motors se hissant au sommet avec 10,6 millions de véhicules légers.
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