Selon le quotidien, qui ne cite pas ses sources, "des chasseurs de têtes ont été mandatés et les candidats sont en train d'être auditionnés".
L'objectif serait de désigner le successeur de M. Ghosn en février pour que les actionnaires du constructeur automobile français valident cette nomination lors de la prochaine assemblée générale, prévue le 15 juin.
M. Ghosn, 63 ans, qui a déjà quitté les commandes opérationnelles de Nissan en avril, resterait président de Renault, dans le cadre d'une scission des fonctions de président et de directeur général, précise Les Echos. Il continuerait également de présider l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Selon Les Echos, Renault privilégierait une candidature interne, tandis que l'Etat français, qui détient 15% du constructeur, n'exclurait pas une personnalité extérieure, à condition qu'il ne s'agisse pas d'un étranger.
Contacté par l'AFP, un porte-parole de Renault n'a pas souhaité faire de commentaire.
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