Lundi, l'action a fini en hausse de 1,10% à 100,9 euros.
Ferrari avait fait son entrée à la Bourse de Milan le 4 janvier 2016, et en 22 mois, son titre a bondi de 134,6%.
A la Bourse de New York, où il a été introduit en octobre 2015 à 52 dollars, il a depuis gagné 125%, évoluant désormais autour de 117 dollars.
La célèbre marque au cheval cabré fête cette année son 70e anniversaire en affichant des résultats à faire pâlir d'envie plus d'un constructeur.
Sur le deuxième trimestre 2017, il a enregistré un bond de 39% de son bénéfice net, à 136 millions d'euros, et de 13,5% de son chiffre d'affaires, à 920 millions d'euros.
Pour l'ensemble de l'année, il table sur un chiffre d'affaires supérieur à 3,3 milliards d'euros, avec seulement quelque 8.400 véhicules vendus.
L'an passé, il avait déjà enregistré une année record en voyant son bénéfice net bondir de 38%, à 400 millions d'euros, avec 8.014 voitures livrées.
Ses bolides sont réservés à quelques "happy few", prêts à débourser de 150.000 à plus d'un million d'euros pour des séries limitées. Et il faut se montrer patient: l'an passé, la patron de Ferrari Sergio Marchionne reconnaissait ainsi qu'il fallait jusqu'à trois ans d'attente pour une Ferrari 488.
cco/jpr