À l'issue des échanges, l'indice Nikkei des 225 valeurs vedettes a pris 44,50 points, à 20.400,78 points, renouvelant son plus haut niveau en plus de deux ans.
En revanche, l'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau a cédé 0,07% (-1,13 point), à 1.673,62 points.
Au même moment, le dollar s'affichait à 112,89 yens, contre 112,66 yens vendredi à la fermeture, et l'euro est remonté à 132,82 yens, contre 132,66 yens.
Après une série d'indicateurs positifs sur la consommation, l'inflation, la production industrielle ou l'emploi annoncés la semaine passée, l'indice de confiance des grandes firmes manufacturières japonaises s'est envolé de 5 points en septembre, à +22, un niveau qui ne s'était pas vu depuis septembre 2007, selon les chiffres de l'enquête Tankan publiés lundi par la Banque du Japon (BoJ).
Les chiffres de Tankan "devraient encourager les investisseurs à acheter des actions de sociétés dont on attend de bons résultats", a estimé Yoshihiro Ito, responsable de la stratégie d'Okasan Online Securities.
Du côté des valeurs, Nissan a perdu plus de 5% en début de séance, avant de terminer en recul de 2,69%, à 1.084,5 yens. Le constructeur automobile a annoncé vendredi la suspension temporaire des immatriculations de ses nouveaux véhicules au Japon après avoir appris que des milliers de véhicules sont sortis de ses usines en ayant reçu des certifications de la part d'employés non autorisés à le faire.
Le fabricant de robots industriels Fanuc a progressé de 2,15%, à 23.280 yens, tandis qu'Hitachi gagnait 1,29%, à 803,2 yens.
Sharp a bondi de 5,44%, à 3.580 yens, grâce à des spéculations sur la recherche d'un partenaire pour la fabrication de ses téléviseurs de prochaine génération.
Toshiba a perdu 1,26%, à 311 yens, après des informations sur une éventuelle enquête des autorités financières japonaises sur ses activités dans le domaine du nucléaire aux États-Unis.
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