« Nous avons conscience que les pratiques en matière de tarification et de modalités de paiement peuvent déconcerter les nouveaux électromobilistes – surtout s’ils les comparent avec celles adoptées depuis des décennies pour les véhicules thermiques. De fait, la multiplication d’acteurs et d’intermédiaires rendent les tarifications parfois difficilement compréhensibles.
Cependant, il est nécessaire de garder à l’esprit que le marché de la recharge est très jeune et en constante progression. Chez Powerdot, nous faisons notre maximum pour que notre déploiement repose sur deux piliers : la transparence et la simplicité.
Nous travaillons en effet depuis le début avec les opérateurs de mobilité pour améliorer l’expérience des utilisateurs de voitures électriques tant au niveau du prix (affichage du prix au kWh sur leurs applications mobiles et sur nos écrans) que sur d’autres leviers importants pour l’adoption des VE (solutions de recharge simplifiées avec Autocharge par exemple, accessibilité, interopérabilité). En parallèle, nous mettons au point des solutions complémentaires pour répondre aux besoins et attentes de chacun.
En ce sens, l’année 2024 marquera un tournant : nous déploierons des totems de prix dans certains de nos sites, comme pour les carburants classiques, et nous installerons des terminaux de paiement par carte bancaire. Ainsi, les électromobilistes seront mieux à même d’anticiper le prix de leur recharge et ceux qui sont le plus éloignés des nouvelles technologies pourront payer plus facilement. Néanmoins, ces initiatives ne permettront que d’aligner l’expérience de recharge sur celle du plein d’essence. Le marché de la recharge doit aller encore plus loin pour que l’expérience utilisateur soit plus simple et fluide qu’avec un véhicule thermique, et ainsi résorber les derniers freins à l’adoption. »