Hier, mercredi 23 janvier 2019, Le Parisien / Aujourd’hui en France révélait que les dégradations commises sur les radars au second semestre 2018 (depuis la mise en œuvre des 80 km/h le 1er juillet, puis au cours de la crise sociale que traverse le pays depuis octobre dernier) atteignaient le coût faramineux de près de 513 millions d’euros (manque à gagner pour l’État et coût des réparations).